cristaux de sel Mer Morte

Se rafraîchir un peu dans le Wadi Numeira…

Nous allons vers le Wadi Numeira, un wadi un peu méconnu ce qui nous permet d’être quasiment seuls pour la balade. Les enfants et Chico s’en donnent à cœur joie dans le petit ruisseau et pour escalader les rochers. Les parois qui nous surplombent de chaque côté ont des couleurs rosé, orangé, blanc, c’est si beau !
Nous arrivons face à un gros bloc, nous grimpons sans trop de problèmes mais il faut hisser le chien par son harnais haha, Chico nous fait confiance, l’opération est réussit.
Il y a quelques jours nous avions essayé de visiter le Wadi Musa mais il est interdit aux mineurs et en plus l’entrée coûte 21JOD ! Le Wadi Numeira est une bien meilleure option pour nous, gratuit et accessible avec chien et enfants.

…avant de longer la Mer Morte !

Nous allons ensuite sur les bords de la Mer Morte. Il fait plusieurs degrés de plus ici et il y a très peu de végétation. La côte est nue, avec des bourrelets de sel figés qui forment comme des escaliers à certains endroits. Nous testons bien sûr la baignade, ici on flotte sans le moindre effort mais par contre ça pique !
Malheureusement il y a aussi beaucoup de déchets sur la “plage”. Les garde-côtes surveillent férocement les abords de la mer mais nous trouvons un petit coin caché pour passer la nuit.

Grimper sur le Mont Nebo…

Après cette balade rafraichissante dans le Wadi Numeira, nous grimpons à nouveau mais cette fois nous surplombons la Mer Morte et allons dormir sur le Mont Nebo. La légende raconte que c’est d’ici que Moïse aurait vu la Terre Promise et décidé de séparer les eaux en deux… il y a beaucoup trop de monde pour nous à l’église, nous ne la visitons pas. En revanche, nous passons une superbe soirée avec un coucher de soleil doré, vue sur la Mer Morte, l’Egypte et l’Israel.

…et traverser la Vallée de Dana

Nous descendons toujours un peu plus vers le Sud de la Jordanie mais nous grimpons dans les montagnes de la vallée de Dana (oui oui comme dans la chanson de Manau !). Nous dormons quelques jours sous les pins. Les enfants jouent avec des enfants bédouins, pas besoin de parler la même langue quand on veut jouer !